Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Politica
5 février 2019

Défense de médiapart, affaire Benalla acte XX

Ce feuilleton devient risible. La première fois ou Monsieur Benalla fit parler de lui, il était au service de Mr Arnaud Montebourg, qui l'avait engagé par le biais d'une quelconque pseuddo-agence de sécurité. Nerveux au volant, il fait déclencher un accident ? En homme respectueux des institution, il propose au ministre en fonction de cacher le délit, alors qu'un autre automobiliste était me semble-t-il engager. Monsieur Montebourg lui rappelle que la règle Républicaine s'appliquent aux ministre, le cave se rebiffe et essaye de refiler un bobard à l'administration. Le ministre du redressement productif sort de sa voiture, et après être rentrez au ministère. il fait la seule chose sensée qui lui paraît à faire, il renvoie son garde du corps.

Ce personnage évolue dans le monde de la protection, et se retrouvent à garder ce qui n'est qu'un candidat marginal, l'ancien ministre de l'économie. Suite à un concours de circonstances particulièrement propices,délitement ancien mais constant de la cinquième République, droite particulièrement divisée, et échec des gauches, le jeune homme ambitieux se retrouva à la tête de l’État français.. Si Mr Macron réussit un coup politique en rassemblant une parti de la gauche républicaine et la plupart des droites hors de celle anti-européenne de Mme Le Pen. Ces circonstances particulière, menée avec un certain bagout,permettent à ce qui aurait dut être un second couteau.

C'est en Mai 2019 que de nouvelles information sur notre drôle d'oiseau d'apprenti gendarme. Car après la garde, Mr. Benalla est intégré à la réserve de la gendarmerie Nationale, avec je ne sais plus quel grade. Ce premier Mai, il n'est pas en service. D'un stricte point de vue légal, il est un simple citoyen, aux yeux de la loi. Malgré cela, il se trouve embarquée dans une bagarre. Si les torts sont partagés, le traitements. L'empressement de la justice montre alors ment judiciaire et médiatique, ne se situe pas dans le même temps. Une perquisition ne se fait pas, et un coffre disparaît de chez leMr pendant la nuit ? . En Juillet, un premier passeport diplomatique lui est découvert, et rapidement par second. Mais la farce n'est pas finie. Passant en commission sénatoriale, ce qui est un parcours judiciaire intéressant que je conseille à tous les justiciables au nom du droit commun. Le dureté des questions aurait fait trembler un enfant de cinq ans. Il dit avoir rendu ses passeports. Voilà que Mr Benalla aurait reçu un troisième, puis un quatrième document. A une période ou une papeterie produisant des papiers sécurisée ayant quatre cents ans d'expérience se trouve en liquidation judiciaire, et après d'autres pertes du même type.

La dernière parie est plus tragique. Les lois liberticides du secret des affaires, de la lois dites « fake news » permettent de surveiller les médias. Ce contrôle du flux à toujours était une arme des autoritaristes. Les journalistes , qui n'ont jamais intéressé le Président, se révèlent parfois indépendants et tenace. Ils ont en fin la preuve par un enregistrement prouvant l'implication de s ce qui paraît de plus en plus à un affaiblissement des moyens de l’État. Ce pourrait montre soit la déliquescence du système institutionnel de la cinquième République, soit l'incompétence de l'administration de l’Élysée,soit une volonté délibèrent, les uns n’excluant pas les autres.

Cette histoire montre le degrés de délabrement du système politique actuelle. L'absence de contre-pouvoirs à l’exécutif empêche toute évaluation des actions entreprise du Président de la République. La domination de celui-ci et de son équipe permettent de couvrir ce qui, au mieux n'est qu’aveuglement et ignorance des fonctionnement de l’état, Républicain, tel qu'il doit assurer la sécurité des documents officiels.. La supposition, non étayé à ce point de l'enquête montre une implication qui se dirige toute vers les plus haut sommet de l’État. Si une responsabilité dans cette perte dans la souveraineté nationale par la sécurisation de ses documents, il s'agit d'un manquement grave. On ne peut qu'espérer un ratage, mais les conséquences sont désastreuse, au minimum le fruit d'une gestion calamiteuse.

A St Marcellin, le 5 février 2019.

Principales sources : Canard enchaîné, Médiapart, France inter

Fabien Micolod

Publicité
Publicité
Commentaires
Politica
Publicité
Publicité