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Politica
23 mars 2019

Les enjeux politiques des changements juridiques actuels.

Le glissement des normes juridiques accordant des pouvoirs exceptionnels de la police, le glissement sémantiques engendre un climat favorable à la violence. Et la paix sociale n'a pas été ramenée. L'incapacité de Mr. Macron, hor de son bris de protection policière , de parler directement à la population, cachées, et incapable de résoudre ni de comprendre le problème. Son mépris envers toutes paroles contradictoires que la sienne et son absence de remise en cause de ses méthodes douteuses engendrent des tensions de plus en plus grandes. Les risques de dérapages sont inouïs et les enjeux sont bien sécuritaire. Et la question se posent de savoir qui protégera le citoyen contre l' État. Ils semblent avoir perdus tous sens de a mesure et il reste à s'inquiéter des résultats de cette stratégie de la surenchère entraîne un vrai scandale. L'absence de contre-pouvoirs à un exécutif qui semble ne pas savoir écouter les messages de détresse de la partie la plus faibles, l'absence de consultation basée sur un dialogue, couplée avec un durcissement des lois, d'une justice administratives anti-républicaine, laissent inquiet sur la déliquescence des institutions française. L'incapacité du pouvoir centrale, dénoncée jusque par le sénat, doit appeler à s'inquiéter sur l'avenir pour le peu d'enfants qu'il restent en France. Quand je vois l'attitude des Algériens, je me dis que nous deviendrions nous inspirer de leur maturité.

Mais la réaction des pouvoirs publics ont toujours était toujours à contre-remps, les paroles contraires aux actes. Le grand monologue camouflée sous un discours qui n'était pas suivit des faits. Même lors des débats organisés par le Président, il était présent dans un raton de 500 m plus de policiers que de participants dans la salle, ce qui n'est pas le gage d'un débat serin et équilibre. La soumission du pouvoir judiciaire est navrante, et indigente de ce vieux pays politique qu'est la France. Il sont incompétents, incapables d'apporter des réponses constructive. La prisons semble le seul avenir pour toutes contestations politiques économiques et sociales indignes, et concomitamment, et contradictoirement présenter un discours d'ouverture. Cette atmosphère délétère depuis maintenant presque un an laisse pantois. L'inaction, l'absence de stratégie, d'objectifs clairement définis à part une puissante vague de désétatisation sans précédents. Même si une réorganisation de fonds de l'administration est certainement nécessaire, l'absence de projet alternatifs concertés empêchent toute action permettant une sortie de crise. Le manque de coordination et cette politique à courte vue et sans vraie direction.

Le problème pourrait être ramener à celui du droit commun, et du besoin de fédéralisation du système étatique français. La condition nécessaire à un une vraie remise en fonctionnement de l’État passe par une politique de proximité, plus efficiente qu'une politique ultra-centralisé comme les réformes institutionnelles. Et donc une réforme de la principale institution de la Ve République, la présidence de la République. Et entre autre une vraie séparation des pouvoirs de vrais contre -pouvoirs une vraie séparation des pouvoirs exécutif et judiciaire. Le droit de nomination au conseil d’intestat et à la cour de cassation génère une domination du premier trop importante pour défendre contre l'arbitraire. De plus, le déséquilibre des procédures avec la Cour de justice de la République ménage les susceptibilités pour couvrir les élus et la haute administration, et d'accuser ceux qui subissent les décisions d'en être responsable.

Envisager la paix sociale sans l'ensemble de la société, c'est être assuré d'un échec ou d'une dérive déjà commencée. Les enjeux concernent toute la société, mais les colères ne cesseront qu'avec un dialogue équilibré. Je souhaite que la France construise un projet politique et sociétale basée sur une construction politique saine, et cela, je le répète, que par la consultation des français sur l'avenir des la société française. Ce n'est pas en ignorant les effets de paroles et des actes violent envers une partie de la société mènent à un accroissement sans fin de cette décomposition de la société. Seule une coopération et une construction commune pourrait assurer une sortie par le haut de cette fin de régime. Ce type de préparation nécessite bonne volonté, consensur et donc d'instaurer un climat de confiance renouvelée.

A St Marcellin, le 23/03 2019

Fabien Micolod

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