jean Comment désamorcer une polémique : Le cas Jean S

Peut-être est-moi qui suis borné, mais je n’ai pas tout compris. Il y a encore quelques jours, une polémique s’amplifiait sur la capacité du fils de notre président, remettant ces capacités à diriger un établissement public. Je fais parti, peut-être à tort, de ceux qui pense qu’un poste politique quel qu’il soit et quelque niveau que se soit, doit être capable, formé et reconnu. Pourtant, Il est vrai que ce jeune homme a abandonné sa candidature à la présidence de l’EPAD. Mais il n’a pas abandonné le poste d’administrateur. Et que l’on ne me fasse pas croire qu’il est compétent, malgré son discours presque certainement écris par des professionnels dont la plume à l’expérience des polémiques et du travail politique ne doit pas être négligeable. Et bien que je suspecte fortement les conseillers personnels de l’homme politique ayant le plus haut poste politique possible en France d’avoir donné des éléments pour compléter les failles des connaissances des dossiers de la défense, je me défends de toute accusation contre ce jeune homme qui ne m’a rien fait. Il faut me comprendre, je n’ai malheureusement même pas un avocat dans ma famille pour favoriser mes projets professionnels. Je doute juste de la séquence politique qui a permis que cette élection n’eut pas causé de remous s’il n’y avait pas eu toute cette polémique sur son accession possible à la présidence de se même établissement public. Son renoncement n’en été pas un. Le discours prononcé par ce jeune homme le laisse entendre. Bien que le titre ne lui pas été décerné, certains désirent pouvoir par son intermédiaire pouvoir contrôler le développement de ce quartier. Le discours, soigneusement répété auparavant, prouvé une grande connaissance des problématiques liée au quartier de la défense, et un sérieux sens de la science politique. Et s’il a une telle maîtrise des sciences politiques, je ne comprends pas comment il semble incapable de décrocher ne fusse que l’équivalent d’une licence. Ce qui d’ailleurs me pousse à remercier le sérieux des professeurs qui ont jugé son travail. Et si eux semble penser que ce jeune homme n’est pas prêt à finir son année de droit, c’est qu’ils ont jugé, j’espère sur des critères objectifs, que se jeune homme était incapable de traité des textes de droits du niveau universitaire de première année. Mais puisqu’il a abandonné la présidence, tout le monde semble oublié qu’il n’est pas compétent au oins pour une deuxième année de droit, donc à fortiori de prendre des décisions.

C’est donc vrai, je ne comprends pas la fin de la polémique. Le coup de communication a parfaitement fonctionné, et peut-être que même l’échec de ce fils à papa à la présidence de l’EPAD ne servait qu’à camoufler l’entrée de celui-ci dans un établissement public où il n’a pas sa place. Et si certain doute du népotisme et des pressions élyséennes, qu’il me précise donc l’age du plus jeune administrateur à cet établissement et son niveau minimum d’étude. Je ne pense pas qu’aucun n’est été aussi jeune et suis presque certain que sauf multiples années de politiques derrière soi, et qu’aucun n’avait moins qu’une licence. Mais les hommes politiques de tout bords ont avaler cette couleuvre, peut être pour éviter que certain regarde de plus prêt chez eux

Fabien Micolod